Conclusion
Toutes les études montrent qu’une reprise de l’activité physique (même légère) améliore rapidement la circulation sanguine, la capacité pulmonaire, les capacités cardiaques et la régénérescence cellulaire. Au bout d’un an, pour les personnes de 55 ans, elle ferait diminuer le taux de morbidité de 25 % et repousserait la période d’invalidité qui survient en fin de vie d’environ 2 à 3 ans.
Cela s’explique par les nombreuses actions protectrices que procure l’activité physique sur le cœur : l’amélioration de la fluidité du sang (réduisant le risque de la formation de caillots dans les artères), la réduction des besoins en oxygène du cœur pendant l’effort physique ou encore la baisse de la fréquence cardiaque au repos comme à l’effort (moindre sollicitation du cœur).